Nous sommes tous potentiellement des aidants lorsqu'un proche est souffrant ou malade.
Toutefois lorsqu’une maladie grave ou chronique s’installe ou lorsqu’un handicap sévère atteint un proche, le rôle d’aidant,souvent investi par un membre de la famille, transforme les relations et la personne elle-même.
Pris alors entre le souhait d’un dévouement sans réserve ,lesémotions vécues liées à la situation et au lien affectif,la dynamique familiale, lacollaboration avec l’équipe de soins parfois conflictuelle… s’ouvrent de nombreux questionnements éthiques.
Comment favoriser une telle démarche et y répondre par une réflexion collective dans le souci de mieux accompagner ?